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SONDAGE. Dans un sondage Ifop du 22 novembre dans Sud Ouest Dimanche, 77 % des Français s'estiment inquiets de la suppression d'une taxe qui est la principale ressource pour les collectivités locales.
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La suppression de la taxe professionnelle provoque une inquiétude profonde dans l’opinion dans la mesure où 77% des personnes interrogées estiment que les communes seront obligées de diminuer leurs investissements et d’augmenter les impôts locaux pour tenir compte de la baisse de leurs ressources, l’Etat ne pouvant pas intégralement la compenser. Seuls 21% des français accordent leur confiance à l’Etat pour compenser intégralement le manque à gagner induit comme le gouvernement s’est engagé à le faire. |
Si assez logiquement les sympathisants de gauche (83%) et ceux du Modem (89%), s’avèrent davantage sceptiques que les sympathisants de l’UMP quant à une compensation intégrale de la part de l’Etat, ces derniers se révèlent néanmoins majoritaires (62%) à estimer que les communes devront diminuer leurs investissements et augmenter les impôts locaux. |
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Ouvert en 2006, l'Intermarché de Castets a causé la ruine du 8 à Huit de Jean-Noël Mora. En dépit d'une fermeture demandée par la justice, le supermarché est toujours ouvert. (photo L. Dequier) |
INTERMARCHE : Un commerçant de Castets, ruiné par un supermarché, a obtenu deux jugements favorables auprès des tribunaux. Mais le magasin est toujours ouvert
C'est une affaire petit commerçant contre grande surface, donc pot de terre contre pot de fer, qui dure déjà depuis quelques années. En 2006 s'ouvre un magasin Intermarché de 1 200 m², avec le soutien de la mairie . Jean-Noël Mora, patron du petit commerce local, inquiet de cette arrivée, ainsi que l'association En toute franchise, estent en justice.
En 2008, M. Mora, qui a vu fondre son chiffre d'affaires, est contraint de fermer son commerce. Entre temps, il a obtenu deux décisions favorables du tribunal administratif de Pau. La première, en 2007, qui annulait la décision prise en 2004 par la CDEC en faveur de la société Inca, autorisant l'ouverture de ce magasin. La seconde, qui date de fin septembre dernier, annulant une deuxième décision prise en août 2007 par la CDEC et autorisant à nouveau l'ouverture de cet Intermarché. Une demande déposée par Inca alors que l'appel de la première décision, formulé par la société, n'avait pas encore abouti.
Lire la suite dans le sud Ouest |
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Intermarché permis de batir annulé
L'association En toute franchise a obtenu le 29 septembre dernier une décision du tribunal administratif de Pau annulant l'autorisation de bâtir l'Intermarché de Castets, d'une surface de vente de 1178 m2. |
Cette décision de la Commission départementale d'équipement commercial des Landes (CDEC), prise le 13 août 2007, faisait suite à deux décisions de justice (l'une d'une tribunal administratif de Pau du 24 avril 2007, l'autre de la cour administrative d'appel de Bordeaux du 22 janvier 2009) qui avaient annulé la première décision de la CDEC du 29 juin 2004, autorisant l'ouverture de ce commerce.
La création de cette moyenne surface a causé faillite de superette 8 à Huit gérée par la SARL Mora et fils, qui fait partie des requérants. .
En conséquence de quoi, En toute franchise demande maintenant au préfet des Landes de faire contrôler ces surfaces illicites qui créent une concurrence déloyale, afin: que le procureur de la République puisse demander leur neutralisation.
(extrait du sud Ouest)
Voir également : décision du tribunal |
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Le retour gagnant des épiciers en centre-ville
Sylviane et Michel Grenier, accompagnés de la petite Emma, en présence d'Élizabeth Thibault, de Bernard Roux, directeur commercial Sud-Ouest du réseau, et de Boris Quinsat. (photo s. v.) |
Le service de proximité redresse peu à peu la tête en ville. Exemple avec Vival
Disparues depuis des décennies, les épiceries de quartier font leur réapparition. Doucement mais sûrement. En témoigne la patiente reconquête du terrain local entreprise depuis quelques années par les supérettes des grands réseaux de distribution. À l'exemple de la supérette Vival (réseau Casino), l'une des dernières épiceries de ville encore ouverte à Blaye, cours de la République.
Connues depuis longtemps au Québec sous le nom de « dépanneurs », ces épiceries ont petit à petit fait leur réapparition dans les grandes villes françaises, grâce notamment à la communauté maghrébine. Petits magasins regorgeant de denrées, façon « souk », organisations familiales solidaires, réseaux communautaires, service aux clients sept jours sur sept, et très souvent tard dans la nuit, proximité avec le client... C'est sur ce concept que ce sont greffés les réseaux des microsurfaces, rouvertes au coeur des villes, portées par les grandes enseignes. Et ça marche.
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Un magasin de référence
C'est en tout cas ce que confirmait récemment à Blaye le directeur commercial Sud-Ouest du réseau Vival de Casino, Bernard Roux : « Nous aurons ouvert cette année 200 magasins Vival en France. Et nous constatons un développement constant du réseau depuis dix ans », indiquait Bernard Roux, qui a sous sa coupe le suivi et l'accompagnement commercial de 102 magasins de la zone Sud-Ouest, dont 38 en Gironde. Anecdotique (il s'agissait de remettre un cadeau à un couple de clients fidèles du magasin, Sylvie et Michel Grenier, de Blaye), sa présence à Blaye, en compagnie d'un manager du réseau, Boris Quinsat, visait aussi à finaliser un projet qui fera du magasin blayais un espace de référence pour les nouveaux et futurs franchisés.
Responsable et gérante du magasin blayais, Élizabeth Thibault souhaitait attendre la concrétisation du projet avant de le commenter plus avant. Mais le fait est qu'un mouvement semble s'amorcer qui devrait faire réfléchir tous ceux qui désespèrent du tissu commercial de proximité.
Ni isolé ni anecdotique
« Un magasin de la taille du Vival de Blaye est viable. C'est cet exemple que nous souhaitons faire découvrir à nos nouveaux franchisés », confirmait ainsi Bernard Roux. « Un magasin comme celui de Blaye peut parfaitement tirer son épingle du jeu, en sachant qu'il bénéficie du soutien du groupe Casino, d'un suivi et d'un accompagnement comptable et logistique. » Le reste, c'est-à-dire la capacité de satisfaire la clientèle, de la fidéliser, de s'organiser au mieux, étant l'affaire du gérant. Message subliminal : paresseux, velléitaires et désordonnés s'abstenir... !
Le vieillissement de la population, devenant moins mobile, les difficultés de déplacement automobile, la reconquête des centres urbains par des habitants renonçant à des logements toujours plus éloignés des services, autant de raisons de croire que l'exemple blayais n'est ni isolé ni anecdotique. |
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04.09.09 Intermarché joue la provocation
Par son invitation a prendre la parole et à votez Intermarché donne ainsi l'occasion à chacun d'entre nous de donner son avis.
Une superette désertifiant toujours plus le centre du village est elle nescessaire ? A qui va profiter cette implantation ? Les emplois précaires sont ils reservés en priorité aux Saint-Justinois ? Les aménagements refusés par Alain DUPRAT maire de Bourriot-Bergonce ont ils trouvé un autre financement ? Quel avenir pour le Vival et la boulangerie ? Comment les personnes agées pourront elles faire leurs courses alors que nombre d'entre eux ont déjà des difficultés à traverser la rue ? |
Et la securité routière ? et la déviation ? et la liaison avec la rue Michelbach ?
En attendant que la démocratie nous permette de prendre la parole et de voter ... Gardons bien les yeux ouverts.
Votre Webmaster.
27.07.09 Qui va financer la volonté de zone commerciale à Saint-Justin
Extrait du sud ouest du 27.07.09 ...
La discussion a ensuite repris de l'intensité autour de l'aménagement de l'accès à la future zone commerciale sud de Saint-Justin. La commune et son maire Philippe Latry sollicitent la Communauté pour un financement rendu nécessaire par la modification du règlement du Conseil général qui depuis mars dernier n'intervient plus sur ce genre d'opération.
Le débat a été renvoyé à la rentrée ...
Voir l'article de JMT dans le sud Ouest du 27.07.09
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La suppression de la taxe professionnelle et la vie des commerces et des villages |
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08.02.09 Je vous livre ici le texte intégral de Alain ..
bonjour, c'est Alain qui tient la superette vival de barbotan.
Je vis un bel exemple et je crains que vous ayez raison, l'inter de cazaubon n'a crée qu'une quarantaine d'emplois, et en a supprimé plus de 500 dans les communes environnantes en 15 ans ( petits commerces, stations services, fleuristes, certaines boulangeries...).
Il a mis à mal les producteurs régionaux à qui il a mis une pression sans commune mesure, tirant vers le bas leurs prix d'achat. |
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La clientèle a beaucoup perdue: moins de commerces, l'animation du centre du village s'en ressent, les habitants se croisent maintenant sur un vulgaire parking, leurs enfants n'ont plus de travail et sont obligés de partir et ceux qui y travaillent ne gagnent pas assez pour vivre décemment, c'est le chat qui se mord la queue.
Les touristes qui viennent ne sont pas plus gâtés, enchantés. Ils repartent parfois déçus par le manque d'animations dans les rues qui deviennent désertes le soir, ennuyeuses le jour. notre belle région ne fait pas tout, les traditions vont en pâtir dans l'avenir, les associations ont moins de poids et ne peuvent plus leurs apporter les prestations qu'ils demandent.
Les exemples sont nombreux. je ne vais pas les citer tous. une chose est claire, il y a déjà trop de grandes surfaces, pas la peine d'en rajouter, elles ne font que du mal, touchent tout le monde, et touchent ainsi un avenir qui devient vraiment incertains, sauf pour une poignée de personnes qui, sans aucun scrupule, détruisent ceux que nos anciens se sont escrimés à construire pour nous pendant des siècles.
Pour finir, je crois qu'il y a de la place pour tout le monde à la seule et unique condition de mettre en place (ou remettre les compteurs à zéro) une stratégie globale du commerce, petits et grands, qui ne lésera personne, ni les clients, ni la vie sociale des habitants des villages ,ni leurs enfants ni les touristes, ni les emplois et encore moins notre futur à tous.
Je crois encore que c'est possible, et qu'une prise de conscience collective doit s'opérer, et...vite.
Merci de m'avoir écouté, pour eux, pour vous, pour moi et pour tous ceux qui se rendent comptent des dégâts qui s'annoncent.
Signé Alain.
Répondre directement à Alain |
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En réponse aux inquiétudes d'Alain
Je pense que la suppression de la taxe professionnelle va mettre un frein dans les projets de ce type, peut être la fin des zones artisanales désertes et le retour des habitants.
Je suis comme vous pour une société à la taille de l’homme, et non une société ou le seul but est le cours de l'action en bourse.
Ce qui se passe en Guadeloupe et en Martinique aujourd'hui à Madagascar, demain à la Réunion est peut être ce qui nous attends en métropole …
MAX GALLO vient de sortir un livre sur le parallèle entre la révolution 1789 et la crise actuelle.
Votre Webmaster |
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Claudine et VIVAL menacé par la volonté d'implantation d'un supermarché
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06.12.08 - Menace réele - Bruit divers- Soutien du commerce et de l'emploi.
Bruit de village,simple colportage, ou réalité d'un projet, on est en droit de se poser la question. Il a déjà été question plus d'une fois d'un supermarché sur Saint-Justin, volonté des uns, appétit des grands groupes assis sur les matelas de leurs action en bourse et auto-satisfait de leurs taux de pénétration respectif, volonté politique peut être. |
Mais faut-il se poser la question individuelement ou être dans l'optique de l'interêt collectif. Individuellement pour le directeur d'une centrale de supermarché c'est un point de vente de plus. Pour l'agenceur, l'architecte, l'entrepeneur, c'est une référence de plus sur leurs cartes de visites respectives.
Collectivement qu'en est il de ceux qui ne sont pas décideurs, ceux qui subissent les décisions :
Les voisins du futur supermarché vont devoir suporter le bruit des véhicules de livraison (camion frigo avant l'aube), des clients, les odeurs des ordures, de l'odeur de la sation service, car il s'agit d'implanter aussi une station service avec accés pour les poids lourds (alors qu'il y en avait 2 à Saint-Justin).
Les commerçants du village vont ils pouvoir résiter, l'expérience d'autres implantations nous a prouver depuis 30 ans qu'il n'en était rien, les bouchers, charcutiers, aritsants boulangers, épiciers, droguistes, cavistes, etc. C'est la désertification des commerces de centre ville au profit des zones commercialles.
Les emplois peux nombreux aujourd'hui vont ils profiter en priorité aux Saint-Justinois ou à celles et ceux qui accepteront les conditions de travail précaires propre à la grande distribution.
Est-il possible de vivre dans un monde, un village, à la taille de l'homme, un lieu humaniste, ou l'interêt de la vie le bien être, passerait avant l'interêt individuel et financier? Est -il possible de penser collectivement? Est-il encore possible de vivre ensemble?
Pourquoi avons-nous hérités ça de nos parents, de la crise précédente (36), de l'après guerre (39-45), de mai 68, du baby boum?
Pourquoi avons nous hérités d'une socité qui rejette ses vieux pour les placer dans des mourroirs, qui divorce par lacheté, incapable de résoudre ses conflits, vivant chacun seul derrière ses rideaux ...
Mais ou est la place du village, son agora, son forum, ses saltimbanques, ses foires, ses marchés, ou est la vie ... celle d'un village.
Allons-nous tuer volontairement Saint-Justin et son dernier commerce, ou le laisser mourir dans l'indifférence de notre socièté actuelle.
Je veux contribuer à la rédaction de cet article
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Claudine soutient le Foot de Saint Justin
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Le 26 Janvier 2008 au Casino de BARBOTAN
Diner au bénéfice du
Dîner à 12€
Salade Paysanne
Navarin d'agneau
Bavarois au chocolat
1/4 de vin - Café
Réservations : Avant le dimanche 20 Janvier 2008
Jérome LABAT |
06.31.04.82.73 |
Epicerie Claudine |
05.58.44.83.93 |
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Le fils de l'épicier
Lorsque campagnard ne rime plus avec ringard...
Quelques années après son arrivée à la capitale, Antoine retourne dans son patelin du Sud de la France pour remplacer son père – l’épicier du village – durant sa convalescence.
De prime abord, le pitch ne casse pas trois pattes à un canard… On se goinfre déjà l’émission pathétique « Le Bonheur est dans le pré » à la télé, ce n’est pas pour partager pendant 1h30 le quotidien de bouseux… euh campagnards sur grand écran… Et pourtant…
… Pourtant, Le fils de l’épicier se révèle être une réelle bonne surprise, une petite bouffée d’air frais. Loin des bruits incessants de la grande ville, le réalisateur Eric Guirado filme avec une grande tendresse le milieu rural, endroit où il a grandi… Et c’est peut-être ça qui fait la différence : il nous offre un tableau aux couleurs chaudes d’un monde touchant. Tout est d’une justesse rare et les petits vieux – drôles ou agaçants – attirent notre sympathie.
Le film est caractérisé par une grande pudeur… A l’image du personnage principal Antoine (Nicolas Cazalé), gros dur au cœur tendre. Rebelle, il revient dans son village natal après avoir rejeté en bloc la vie que ses parents lui prédestinaient… Un retour aux sources aux allures de parcours initiatique. Antoine est autant maladroit que Claire – interprétée brillamment par la jeune actrice qui monte Clotilde Hesme- est espiègle et déterminée… Et insuffle un semblant de vie à une bourgade ankylosée.
Morale du film : campagnard ne rime pas avec ringard… Le fils de l’épicier a le mérite de mettre nos a priori au placard, et nous prouve qu’il n’y a pas que des gros navets qui sortent l’été… Ouf, nous voilà rassurés !
Fanny Cairon
Bien sur je me suis volontairement trompé de page, votre webmaster ... aller à la page spéctacles et cinémas
Fhoto finish
Samedi 27.10.07
J'ai attendu plusieurs jours après le bon rayon de soleil de fin d'après midi pour cette photo. ...
Repsol le retour à Sain Justin
Vendredi 12 octobre 2007
J'ai découvert hier : le retour de REPSOL à saint Justin.
Souvenez vous, les allées de Phoebus abritait un garage et sa station service ESSO, REPSOL y était présent et nombre de Saint Justinois y étaient client. Aujourd'hui le dépot de gaz en bouteille REPSOL est réouvert à quelques mètres de la chez Claudine et son VIVAL nouveaux.
Réagissez
Raté à l'allumage:
Mercredi 03 octobre 2007
Ce matin vers 8h30 un attroupement a atiré mon regard, les habitants de Saint justin faisaent il une manifestation spontannée sur le trotoir devant chez Claudine.
Claudine était en tête de ce cortège quel pouvait en être la rason ?
Un raté à l'allumage ce matin, la goutte d'huile coincée, le grain de sable (landais) avait il frappé à nouveau.
Notre reporter spécialiste de ces questions se glissa discrétement parmi la foule rassemblée et conclu qu'il fallait mettre de l'huile sur le grain de sable dans la serrure ... par bonheur la serrure ne résista pas longtemps et l'allumage des lumières dispersa la foule ...
A suivre ... pas de photo .... Réagissez
Quand peintures rime avec ouverture:
Mardi 02 octobre 2007
C'est sous un ciel couvert et à l'aube de ce jour mémorable d'octobre que timidement les lumières puis les portes se sont ouvertes.
Claudine s'est donc installée dans ses nouveaux locaux, bien sur tout n'est pas comme elle le voudrait.
Le coup de peinture, l'enseigne, elle semble un peu avoir mal aux pieds dans ses nouvelles chaussures, mais le sesn du commerce et la gentillesse vont très vite la mettre à l'aise.
Nous lui souhaitons bonne chance ...
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Faites tomber l'enseigne:
Mercredi 26 Septembre 2007
Il n'y a une jour qui passe sans que ne trépasse les traces de l'ancien VIVAL , Monsieur propre, en vente dans votre magasin et en démonstration cette semaine, fait le ménage ... et que dégage l'enseigne délavée par le temps, la presse cassée depuis belle lurette c'est cassée également, mais le pompom revient aux stores, ancienne reserve de poussière (la circulation) et faute d'avoir été régulièrement lavés, ils donnaient un aspect pauvre à ses propriètaires ...
Pour qu'un magasin soit acceuillant il se doit d'être propre, son commerçant doit faire la preuve de sa réussite ...
Car il vaut mieux faire envie que pitié ....
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Quand VIVAL devient VIVAL:
Mardi 25 Septembre 2007
VIVAL à fermé ses portes Lundi, hier, les travaux de rafraichissement ont déjà commencés et la réouverture sous la même enseigne est prévue le 2 octobre, excellent choix, cette date.
Un peu d'histoire, Claudine à repris en 1978 le commerce plus que centenaire et se retrouve au hasard des fusions des grands distributeurs alimentaires avec la même enseigne que son concurent d'hier. Vival anciennement Carrefour est devenu Casino, mais c'est pas cela qui nous intêresse.
Claudine va donc déménager sa bonne humeur et son sourire pour encore mieux vous servir, vous y trouverez les mêmes produits, et toujours avec le sourire de la crémière en prime.
Le rayon "presse" sera maintenu également, Claudine deviendra alors la saint justinnoise la plus incontournable.
C'est pas encore bien décidé mais dans les grandes lignes les horraires resterons identiques à savoir de 8h à 12h30 et de 15h à 19h30.
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