Bulletin municipal N° 3 Juin 2009
EDITO de Philippe LATRY Maire de Saint-Justin
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Le point sur l'action municipale
Qu'on se le dise !
Brèves
Suppléments
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La solidarité existe bel et bien encore, j'en suis convaincu depuis le 24 janvier au matin.
Spontanément, nous nous sommes accordés autour d'une cause commune pour faire en sorte que la vie redevienne la plus supportable dans des délais acceptables par tous.
Femmes, hommes, jeunes et adultes, chacun a pu se sentir utile au service des autres. Il s'agit certainement d'une réaction naturelle, presque chromosomique, ancrée au plus profond de nous même qui ressurgit en cas de besoin. C'est comme un instinct de survie où seule la volonté de s'en sortir et d'avancer commande. Vous me direz que c'est plutôt rassurant dans un monde où le chacun pour soi reste trop souvent la règle pour se faire ou garder une place au soleil.
Et si cette solidarité que nous avons touchée du doigt était tout simplement la clé à la solution de nombreux problèmes de société? |
La solidarité est une attitude responsable, elle fait appel à la conscience de chacun. Elle consiste à aider les personnes qui en ont le plus besoin, elle ne peut s'exprimer que si ces principes sont partagés par une très large majorité.
La solidarité est inscrite dans le marbre des fondements de la citoyenneté.
Solidarité nationale, communale, intergénérationnelle, au quotidien notre système fait appel à cette nécessité d'entraide, de mutualisation. Nul n'est à l'abri du besoin.
Ne pas oublier ce dont nous avons été capable collectivement il y a quelques mois déjà, et s'en souvenir à chaque fois que c'est nécessaire, est un signe quant à notre capacité à bien vivre solidairement, ensemble, à Saint-Justin.
Votre Maire- Philppe LATRY
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Bulletin N°3:
Juin 2009
Nul n'est à l'abri du besoin, et celui qui n'a jamais perdu son travail, perdu une vie, un enfant ne peut pas comprendre le geste gratuit d'un volontaire.
La solidarité lors de la tempête Klaus a été un exemple et une leçon d'humilité devant cette nature qui se venge de l'homme qui la détruit.
L'étape suivante ne serait elle pas de repenser notre modèle de société, de le recentrer sur l'humain, de retourner aux logements pour famille, de réintégrer nos grands parents dans les foyers au lieu de construire des mourroirs ou de jeter ses enfants à la rue, au chômage, à la dérive de la consommation et du profit.
J'ai un texte a soumettre
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