Tandis que s'achèvent les gros travaux de terrassement, l'autoroute de Gascogne, l'A 65, devient réalité concrète, au milieu des pins, au milieu de la vie des Landais
(photo Nicolas Le Lièvre)
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Evidemment, tout le monde sait à quoi ressemble une autoroute. À rien. Ou plutôt si. À des kilomètres longilignes d'enrobé (150km), surlignés de glissières grises, émaillés d'aires de repos vaguement arborées (quatre), de péages embouteillés et toujours trop chers et de stations-service bondées (deux).
Mais le pire, ou le plus... traumatisant pour les autochtones, c'est encore la phase chantier. C'est-à-dire la phase actuelle. Le moment où le projet quitte les planches à dessin et devient réalité concrète, paysage quotidien de poussière et de boue, théâtre de bruits et d'odeurs.
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Parce que malgré les réticences et au-delà des enthousiasmes, l'autoroute de Gascogne est désormais une réalité dans le paysage landais, où les forêts de pin offrent désormais un horizon ouvert sur les crêtes montagneuses. De Bernos-Beaulac à Garlin, nous avons promené nos sens sur les traces de la future A 65, dans ce présent transformé et cet avenir qui devient de plus en plus palpable, jour après jour.
Je conseille vivement de voir l'article d'Aude Ferbos directement sur le site du Journal le Sud Ouest
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