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Olivier de Guinaumont, le président d’A’liénor, la société concessionnaire de l’autoroute A65 a accepté de se plier à l'exercice du tchat ce vendredi en direct depuis notre agence de Pau. Le patron de l'A65 n'a pas été ménagé par les internautes qui n'ont pas manqué de lui poser toutes les questions qui fâchent. Mais Olivier de Guinaumont ne s'est pas dérobé. Il a notamment à la critique très souvent émise du tarif élevé de cette autoroute : "nous avons des tarifs assez voisins à ce qui se pratique sur les autoroutes récentes. Par exemple, un Pau-Paris, soit environ 700 km vous coûtera environ 75 euros. A comparer aux 22 euros et 200 km d'un Pau-Bordeaux. Soit à peu près dix centimes du km." Il a par ailleurs expliqué que sa société ne bénéficiait pas de garanties de recettes de la part de l'Etat : "nous ne bénéficions pas d'une garantie de recette de la part de l'Etat. L'A 65 est aux risques et périls de son concessionnaire A'liénor." Vous pouvez retrouver ci-dessous l'intégralité de ce tchat.
Autoroute A65 · transports · tchats · Pau · Mont-de-Marsan · Aire-sur-l'Adour
 Vendredi 16 décembre 2011
Par Sudouest.fr
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Olivier de Guinaumont : l'Autoroute A65 n'est pas la plus chère de France
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Ecrire au webmasterL'autoroute A 65 cherche toujours sa voie
Le bilan de l'infrastructure, un an après sa mise en service, révèle un trafic qui plafonne à 5 600 véhicules par jour, loin des prévisions initiales.
Fallait-il aménager 150,2 km d'autoroute entre Pau et Langon, même « grenello-compatibles », pour mieux relier la préfecture béarnaise à la région de Bordeaux ?
Un an après la mise en service de l'A 65, le 16 décembre 2010, 60 % des participants au sondage organisé sur notre site sudouest.fr pensent que non. La question se pose, en effet, à l'examen des chiffres de fréquentation communiqués cette semaine par le concessionnaire A'Liénor.
Cette france qui dit "NON"
Vous n'en avez pas marre de dire NON a tout et de ne rien faire d'autre que des manifestation de clocher.
Alors que les français on dit "NON" au traité européens et qu'un seul homme a signé pour le NON au NON personne ne c'est manifesté et nous voilà en pleine crise.
Au lieu de dire NON sans écouter son propre voisin essayer plutôt de construire ensemble un monde plus positif, un monde ou on dirait OUI aux projets d'interêts publics comme le TGV ou les grandes infrastructures routières et OUI encore aux interêts privés qui seraient générateur d'emplois de richesse et de bonheur.
Tirons la France au lieu de tirer sur les Français.
Axel K .. (Labrit).
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