Derniers articles

Avril 2011

Dossiers A65   LGV

La loi Bachelot

Supression des pauvres = économie pour la sécu !!

 

Dossier A65

L'après A65

On a attendu 40 ans la Pau-Bordeaux

Miracle Ă  Pouydesseaux

L'autoroute Bordeaux-Pau

l'agglo ou le piémont

Olivier de Guinaumont

Contre la mise à péage

Naissance sur l'A65

La future route Pau-Oloron

A65 pas de cadeaux

Coopération intercommunale

Cinq accidents en 24 h

Camion renversé et route bloquée

L'A65 coupée

33 mois de travaux

A65 La bataille sans fin

Un accord foncier

A propos du BĂ©arn

L'autoroute A65 a été fermée

Rentabilité A65

Accident sur l'A65

Pause dans les travaux

Le débat relancé

Partenariat avec les chasseurs

Stop à la polémique

RĂ©ductions de vitesse

RĂ©ductions de tarif

RN10 PĂ©age pour les landais

Le plein d'espoir

A65 Aire sur Adour SUD

A65 Baisse de tarif

Après l'A65, le dossier des LGV

Le barreau du Caloy

Tarifs au 01 février 2011

RN10 Ă  PĂ©age

Un pont sur la rocade

C'Ă©tait avant l'A65

A65 Interdiction

l'A65 Tarifs du péage

l'A65 pas le 14 décembre

Téléthon sur l'A65

Liaison A65-A89

Retard Ă  l'allumage A65

J-30 Ouverture A65

Du nouveau au Caloy

Sur la route de l'emploi

Le Fil D'aliénor N°8

Bostens, lot de consolation

L'A65 sur les cartes

l'A65 conduit Ă  Compostelle

EnquĂŞte A65

A65 Ouverture le 14

Dossier complet Tout le Dossier A65

A'liénor fait du sport

Rocade Storim VS Leclerc

La Rocade nord de Mont de Marsan

Mise en service au Caloy

Pire avec l'A65

La rocade de Mont de Marsan

L'A65 prend l'eau Ă  Bazas

Vues du ciel des Landes

Le Fil D'aliénor N°7

ASF quand l'autoroute tue

Un pont mal en point

On a marché sur l'A65

Viaduc du Ciron

Échangeur de Captieux

Bourriot-Bergonce

Bostens les « anti » A65 dans l'après-guerre

Roquefort

l'enfer du paradis perdu

Le Caloy, Lucbardez, Gaillères

Les Arbouts, Saint-Gein

Le Vignau de David ZANCHIN

Aire-sur-l'Adour

Garlin

Echangeur A65-A62

L'oportunité Ă  saisir

Visite sur le chantier à Pujo le plan

Le fil d'Aliénor N6

Liaison 2x2 voies et Caloy

Le pont du Caloy

Déviation d'Aire sur Adour

Deux morts à Pillardit

Un peu de retard

Le viaduc de Roquefort

Rond point au Caloy

L'A65 lave plus blanc

L'A65 compense carbone

Le Vigneau pont Nord

Bourriot et le pont

l'A65 vide les Landes

l'A65 sur FR3

Le Caloy (partie II)

Le fil d'A'léinor N4

Retjons, le maire ...

Roquefort, archologie

Le Caloy, Suppression des fossés

Anarchie sur l'A63

Borloo donne le feu vert

Le chantier suspendu l'accord de Borloo

Le concessionnaire respire

OUI, l'A65

Information - le fil d'A'liénor N2

Eiffage - les engins arrivent

Euro tunnel : l'exemple

Les six raisons des opposants

Bataille perdue

Ils roulent pour l'A65

Patrice Gascogne réagit ...

... avec H. Emmanuelli, l'ARLP répond

Alain Rousset plus offensif que jamais

Emmanueli se fâche

Comme un doute sur L'A65

L'A65 dans l'impasse

Feu orange pour l'A65

Les clignotants au vert

Planteurs volontaires

Et au milieu coulera l'autoroute

La scission des pérs

Dans le Sud-Ouest - l'A65 embauche

l'A65 recrute - Offres d'emplois

A65 et Déviation de Saint-Justin

Photo section Nabias et Arue

l'A65 Aire sur Adour dés 2009

Captieux anticipe l'A65

Section Arue - Roquefort

l'échangeurd'Arue

l'échangeur du Caloy

Détails de la section Lucbardez Galléires

Réunion de Bostens

Réunion de Roquefort

Accueil dossier A65

ARLP nous écrit

Calendrier des réunions janvier 2008

Les plans d'implantation de la section Bourriot-Retjons

Détails Bourriot-Retjons

Partenariat avec les chasseurs

le fil d'alinnor N1

Photo - Bourriot Bergonce

Calendrier des réunions décembre 2007

Recours en cours

Pas grand monde Ă  Retjons

Alternative Régionale Langon Pau

L'écrevisse à pattes blanches

L'échangeur de Captieux

Saint-justin à l'heure de l'A65

Au nord de Saint-justin l'échangeur de Roquefort

Au sud de Saint-justin l'échangeur du Caloy

Sepanso vs Alienor

La fin du "Tout Routier"

On n'est pas seuls

recours en cours

les travaux de déboisement

On nous coupe en deux

Le grenelle relance les opposants

Chasse les palombiéres

Calendrier des travaux

La rubrique emploi

Envoyer nous votre avis sur Saint-Justin.eu

retour

Saint Justin et les médécins de proximité :

MEDECINE DE PROXIMITE. Les députés ont voté le principe d'un accès aux soins de premier recours pour tous. Reste à gagner la guerre contre les déserts médicaux

Bachelot jette la balle dans le camp des médecins

« Pour attirer les médecins, il va falloir trouver des mesures incitatives tenant compte de l'évolution des modes de vie », prévient Michel Glanes, de la Fédération hospitalière. (Photo maxppp)
Roselyne Bachelot l'affirme : d'ici à 2010, 90 % de la population devra se trouver à moins de vingt minutes d'une structure d'urgence. « La ministre de la Santé raconte n'importe quoi », réplique Patrick Pelloux, le très critique président du Syndicat des urgentistes.

Le point, au lendemain du vote par les députés d'une partie de la loi très controversée sur la réforme hospitalière.

1 Éviter les déserts médicaux

L'Assemblée nationale a entériné le principe d'un accès aux soins de premier recours dans le respect des exigences de proximité, de qualité et de sécurité. Cette offre inclut l'ensemble des professionnels susceptibles d'y répondre : médecins généralistes, spécialistes, paramédicaux et pharmaciens d'officine.

Michel Glanes, délégué régional aquitain de la Fédération hospitalière de France, est « très satisfait de ce schéma de soins de premier recours, qui s'ajoute au schéma régional d'organisation sanitaire ». Il n'ignore pas que c'est plus facile à mettre en place à proximité d'une ville qu'en pleine campagne.

Il cite l'exemple de régulation qui a été inventé en Lot-et-Garonne. « Quand un patient appelle et que son médecin est absent, la communication est prise en charge par un médecin libéral installé dans les locaux du 15. Le patient est orienté vers un autre praticien, pris en charge par une ambulance si nécessaire, ou rassuré sur un état qui peut attendre le lendemain. »

La promesse de Mme Bachelot pose en effet la question des déserts médicaux, qu'un député de Lozère a dénoncés en termes assez vifs. Annonçant que son département compte davantage de vétérinaires que de médecins, il lance qu'« il vaut mieux, pour y être soigné, être une vache qu'un homme ».

2 Trouver un système d'incitation

Une étude de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et de la statistique (Drees) tire en effet l'alarme. Le nombre de médecins (215 000) devrait chuter de 10 % d'ici à 2020 et ne retrouver son niveau actuel qu'en 2030. Mais la population aura alors progressé de 10 %.

Comment inciter les jeunes médecins à s'installer ailleurs que dans les régions déjà largement pourvues ? C'est la question que doit résoudre Roselyne Bachelot. Sachant que la coercition ne donnera pas de résultats et que l'incitation a vite trouvé ses limites.

Jean-Pierre Davant, président de la Mutualité française, a pris position, rappelant que « notre système de soins est financé pour l'essentiel par la solidarité nationale et les complémentaires santé, ce qui permet à l'ensemble des professionnels de santé des revenus stables et pérennes ».

Il demande donc que s'applique une contrepartie : « La santé de tous nos concitoyens doit prévaloir sur les seuls intérêts corporatistes. Celles et ceux qui résident en Picardie, en Normandie, en Champagne-Ardennes, en Bourgogne ou en Auvergne contribuent de la même manière que ceux qui habitent la Côte d'Azur ou l'Ile-de-France. Il n'y a aucune raison qu'ils continuent d'être pénalisés. »

Le projet de loi prévoit une « régulation territoriale de la démographie médicale par le numerus clausus de première année, la répartition des postes d'interne par spécialités ».

Michel Glanes se montre tout à fait favorable à cette disposition, conscient, néanmoins, qu'« il va falloir trouver des mesures incitatives qui tiennent compte de l'évolution des modes de vie ». Il préconise ainsi la création de maisons de santé associant les professionnels, car il observe que les médecins souhaitent travailler en équipe mais ne veulent plus être obligés de coupler obligatoirement lieu de résidence et lieu de travail. « De plus, ajoute-t-il, il faudra aussi que les patients comprennent que nous avons changé d'époque et que l'on ne peut plus demander à son médecin de se déplacer à 22 heures pour le moindre bobo. »

La loi garantit aussi le maintien de services d'urgences dans les hôpitaux de proximité. Une disposition qui n'emporte pas la conviction de Régis Garrigue, secrétaire général adjoint de l'Amuf : « Dans l'esprit de la ministre de la Santé, craint-il, on risque de se retrouver avec un sous-dispensaire. Si on n'a pas de vrais médecins, de services de radiologie, ni de lits pour les malades, alors les urgences se transformeront en dispensaires. »

3 À contre-courant de l'opinion

Alors que la loi Bachelot veut rationaliser et économiser, les Français, selon un sondage TNS-Sofres diffusé hier, dénoncent à 89 % le manque de moyens humains et financiers de l'hôpital public. Ils rendent hommage à la compétence des personnels et ne souhaitent pas que l'on touche à leur hôpital de proximité.

Ainsi, ils sont 76 % à se dire défavorables à la fermeture de certains petits hôpitaux de proximité au profit de grands hôpitaux mieux équipés mais plus éloignés. Or, c'est un des axes principaux de la loi Bachelot, qui, en prônant la création de territoires de santé, veut répartir les tâches entre établissements.

source : sud ouest

La loi ... la médecine selon Bachelot Actualité  :

 Bachelot jette la balle

 

Le médecin de proximité ...

Donnez votre avis ici ... Donnez votre avis ici

Ecrire au webmaster

Envoyer un commentaire sur cet article

Fonctionnalité bloquée par préférence cookies

compteur de visites
Saint-Justin© 2007 • Charte de bonne conduite• Mise ŕ jour le 17.03.2009

Saint- Justin et les médécins de proximité