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Saint Justin : Elections cantonales : L'UMP se cache, les écolos se montrent, la gauche hésite

L'élu socialiste des Landes Henri Emmanuelli estime que les élections cantonales, au-delà d'un scrutin local, seront un test national pour montrer l'échec du gouvernement.

 

 Henri Emmanuelli, ici dans un meeting socialiste landais, le mois dernier : « Les difficultés financières des Départements sont dues à des décisions gouvernementales. » Photo Loïc DecquierHenri Emmanuelli, ici dans un meeting socialiste landais, le mois dernier : « Les difficultés financières des Départements sont dues à des décisions gouvernementales. » Photo Loïc Decquier

Ténor historique du Parti socialiste, au sein duquel il a occupé plusieurs fonctions ou mandats électifs importants (premier secrétaire du PS, président de l'Assemblée nationale), Henri Emmanuelli est aujourd'hui député et président du Conseil général des Landes.

À la veille des cantonales, l'élu du canton de Mugron (non renouvelable cette année), qui s'est toujours situé à gauche du PS - il fait partie du courant « Un monde d'avance », mené par Benoît Hamon, et s'est prononcé en faveur de la candidature de Martine Aubry à la primaire socialiste - répond aux questions de « Sud Ouest ».

 

« Sud Ouest ». La campagne des cantonales s'engage et le Parti socialiste a décidé d'en faire un test national.

Henri Emmanuelli. Le gouvernement est dans une situation extrêmement difficile, à cause de ses résultats sur le plan économique et social, mais aussi à cause de la crise politique dans sa majorité. Il est clair qu'il n'a pas envie de voir traduit dans les urnes ce que disent les sondages aujourd'hui. Il fait donc tout pour que cette campagne soit renvoyée au plan local. Dans les Landes mais aussi dans tous les départements où je suis allé soutenir les candidats socialistes, la Seine-Maritime, les Alpes-de-Haute-Provence, l'Isère, le sigle de l'UMP est escamoté.

Pourquoi en faire ce test national ?

Si on prend les exemples de l'Éducation nationale ou de la réforme des collectivités locales, on est immédiatement confronté non pas à des décisions locales, mais nationales. Les difficultés financières dans lesquelles se trouvent les Départements aujourd'hui sont dues à des décisions gouvernementales.

La réforme fiscale annoncée par François Fillon ne trouve pas grâce à vos yeux ?

La majorité est très embarrassée parce que certains veulent faire sauter l'ISF avec le bouclier fiscal tandis que les autres estiment que ce serait suicidaire. Alors, ils essaient de faire un compromis, et une chose est sûre : à l'arrivée, il va manquer de l'argent. Au minimum, 300 000 personnes seront exonérées de l'ISF. Pour résorber les déficits abyssaux, il faudra alors alourdir la facture au détriment de l'ensemble des Français et au bénéfice de quelques privilégiés. Ce qu'ils préparent va encore aggraver le caractère inégal de la fiscalité qu'ils ont mise en place.

Le retour d'Alain Juppé au gouvernement n'est-il pas favorable au retour de la confiance ?

Je ne veux pas être désagréable, mais je ne vois pas comment M. Juppé serait redevenu le sauveteur de la droite.

Sa compétence est pourtant reconnue aux Affaires étrangères ?

Sur la politique internationale, j'ai lu son blog avec attention et j'ai constaté qu'il était quasiment en désaccord avec tout ce que proposait M. Sarkozy, que ce soit la présence en Afghanistan ou le réalignement dans l'Otan.

Au débat sur la politique étrangère à l'Assemblée nationale, on s'attendait à une réponse et nous l'avons retrouvé « droit dans ses bottes », ayant complètement oublié ce qu'il avait dit l'été dernier et tout à fait prêt à servir. Et je ne crois pas qu'il soit prêt à sauver M. Sarkozy, parce que je ne crois pas qu'il ait beaucoup de considération pour lui.

Il semble pourtant que Nicolas Sarkozy lui ait déjà beaucoup cédé ?

Cela me semble une vision purement médiatique. Sauf à imaginer que M. Sarkozy a fait l'objet d'une régénérescence génétique totale, je ne vois pas comment il se transformerait par un coup de baguet-te magique en factotum d'Alain Juppé.

La candidature de Dominique Strauss-Kahn, que vous ne soutenez pas, monte en pression. Votre réaction ?

Qu'il y ait des appels de quelques élus en sa faveur, cela n'est pas une surprise, et ce n'est pas de nature à bousculer la donne. J'ai vu aussi avant-hier surgir sur Internet une liste impressionnante de personnes appelant Martine Aubry à être candidate. Elle a remis le Parti socialiste au travail et elle a réussi à le repositionner sur le plan politique. Elle est donc en situation d'exercer le pouvoir exécutif en étant la candidate du PS.

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Extrait du Journal le Sud Ouest7 mars 2011 06h00 | Par Jean-Pierre Deroudille

 

Info Nouvel Obs : l'UMP (ne) fait (pas) campagne

J-6 avant le premier tour. L'UMP ne risque pas la surchauffe.

Un petit lancement, aucun appel à voter pour lutter contre l'abstention, aucun mot d'ordre et des candidats qui suppriment même la mention "UMP" sur leurs affiches de campagne... La mobilisation de la majorité a connu de plus belles heures.

En donnant fin janvier "le coup d'envoi des cantonales", lors d'une réunion à huis clos des cadres départementaux, Jean-François Copé avait pourtant assuré qu'elles seraient "un tour de chauffe" avant les échéances nationales de 2012. Le patron de l'UMP avait aussi exhorté les candidats à porter haut les couleurs "du premier parti de France".

Les mauvais sondages, les frasques des ministres et la polémique autour du débat sur la laïcité et l'islam font craindre à tous un vote sanction. Sur le terrain, de nombreux candidats ont préféré gommer leur appartenance à l'UMP et se revendiquer plutôt de la "majorité départementale", voire sans étiquette du tout. A tel point que Jean-François Copé a du rappeler ses troupes à l'ordre lors du seul "grand" meeting cantonal, à Marseille. "Une chose est de porter haut l'étendard quand tout va bien, une autre est de le porter avec la même vigueur quand les temps sont plus difficiles", a-t-il dit.

Les ministres qui s'étaient mobilisés lors des élections régionales sont absents des meetings et les candidats ne les sollicitent pas. Deux d'entres eux sont pourtant directement concernés, le garde des Sceaux Michel Mercier et le ministre de la Ville Maurice Leroy. 

A six jours du premier tour, ce lundi 14 mars, le site internet de l'UMP ne fait d'ailleurs aucune mention des élections cantonales sur sa page d'accueil : 

Nouvel Obs15/03/11 09:03

 

Actualité  :

Elections cantonales : L'UMP se cache, les écolos se montrent, la gauche hésite

 

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Douze candidats, six problématiques

Quel est le positionnement des candidats montois sur les grands dossiers du moment.

Sept au Sud, cinq au Nord. Les cantons de Mont-de-Marsan qui sont parmi les plus peuplés des Landes ont attiré leur lot de candidats. Aucun des treize autres cantons renouvelables ne fait mieux au niveau du nombre de prétendants.

Et ces quinze candidats, comment voient-ils leur canton respectif ? Quelles sont les problématiques majeures et quelles sont leurs préconisations ? Bon à savoir pour les 38 864 électeurs inscrits (25 556 au Sud, 13 308 au Nord).

Rocade et barreau du Caloy

Au Nord et a fortiori au Sud, le dossier de la rocade est très suivi. En particulier par les candidats de droite.

Bertrand Tortigue (sans étiquette soutenu par l'alliance droite-centre) en fait même LE dossier. « Il faut doubler les abords des ronds-points des routes de Grenade et du Houga au niveau des pénétrantes et à terme, il faudra déniveler. » « Si ça circule mal, c'est que le Conseil général n'a pas fait son boulot », estime abruptement Hervé Bayard (UMP).

Le FN, le CNIP et le Front de gauche sont favorables à son doublement et au dénivellement des ronds-points à problèmes. « Depuis des lustres, Emmanuelli fait du bricolage », juge Fabrice Milhares (CNIP). Lui réclame aussi une « voie de contournement de Mont-de-Marsan par le Nord. »

Parallèlement, Bertrand Tortigue, comme Hervé Bayard d'ailleurs, estime urgent l'aménagement du barreau du Caloy. « Le département ne nous l'annonce pas avant cinq ou six ans, c'est beaucoup trop long. »

Les autres candidats, notamment socialistes, font beaucoup moins cas de ces dossiers. « Le projet du Caloy est dans les cartons. Il convient d'attendre le positionnement exact de la gare LGV », glisse Didier Simon (PS).

A 65 et LGV

La ligne de fracture est claire. Il y a Europe Écologie les Verts (EELV) et le Front de gauche d'un côté, et puis les autres. « L'autoroute, on était contre au départ, aujourd'hui notre combat est de la rendre moins chère », livre Bernadette Curculosse, suppléante de Philippe Lucas (Front de gauche). « Une autoroute trop chère ne compense pas une route qui n'a pas été sécurisée », avance Marie-Claire Dupouy (EELV). Pour introduire la LGV, elle ajoute : « si on continue comme ça, on sera siphonné au bénéfice des métropoles. » « La LGV pour qui, pour quoi », renchérit Laurence Motoman (EELV). « On n'a même pas les moyens d'entretenir le réseau existant. »

Alain Baché (Front de gauche) plaide également pour une rénovation du réseau existant. D'autant que ce sont les collectivités « qui banquent pour la LGV ».

Pour le reste, de l'UMP au PS, sans oublier personne y compris le divers gauche Ithurralde, les candidats sont pour ces infrastructures. « C'est une chance pour le territoire », résume Renaud Lahitète (PS).

Les zones commerciales

C'est le sujet chaud du moment (lire également en page 18). Sans surprise, le plus chaud partisan des deux projets est Pierre-Noël Ithurralde, le maire de Haut-Mauco. « Par manque d'offres et de concurrence, notre secteur de chalandise perd annuellement une masse monétaire de 350 millions d'euros. »

« Les deux zones commerciales vont dans la bonne voie », considèrent Julien Antunes et Thierry Fariez (FN).

« L'offre actuelle suffit. Il manque deux ou trois enseignes mais on n'a pas besoin de tout ça. Mieux vaudrait développer les commerces de proximité dans les petites communes », contre Laurence Motoman.

Le stade du Loustau

Ce sont les candidats socialistes qui en parlent le plus. Pour Renaud Lahitète, « pas d'alternative, ce terrain doit revenir en intégralité au centre hospitalier ». Didier Simon dit pareil. « La Ville doit faire jouer son droit de préemption car l'intérêt général ne peut passer après les intérêts privés. »

Les candidats de droite sont moins gênés par le sous-seing privé signé par le Stade Montois omnisports, propriétaire des lieux, et un promoteur immobilier.

Les maisons de retraite

Entre 200 et 250 demandes d'admission sont non satisfaites. le constat est partagé (il manque au moins deux Ehpad), pas les solutions. « Si la puissance publique ne porte pas, il faut faire appel à des privés », estime Hervé Bayard. La gauche préfère, elle, des établissements publics. Pour des raisons de coût mais aussi parce que « l'enveloppe de crédits de l'assurance-maladie est limitée. La ponction pour des lits obérerait d'autant la création de lits publics », termine Didier Simon.

Extrait du Journal le Sud Ouest12 mars 2011 06h00
Par Jean-françois renaut

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